En matière d’oxymores paradoxaux

En matière d’oxymores paradoxaux, je préfère par dessus tout les complexités simples, pas chiantes, faciles à appréhender dans le quotidien grâce à leur côté presque naturel et dépourvu de calculs mentaux féroces. Est-ce que je me soucie de la mécanique des fluides en arrière plan d’une vague qui vient rythmer le littoral ? Pas tous les jours. À la place, j’apprécie finalement cette idée que, de toute manière, cela aurait été très objectivement bien au-delà de mes forces. Et même on ne peut plus objectivement, quand on y pense !