De retour du jardin de Saint-Fiacre

Merci, MERCI d’avoir été si nombreux.ses à nous rejoindre à notre « Micro-festival privé de la presque-pleine-lune au jardin de Saint-Fiacre » !
J’ai été tellement touché par l’attention que vous avez accordée à nos lectures, et tellement tout autant par la joie qui accompagnait les échanges et les rencontres…

Un premier remerciement tout particulier à Martine Meirieu qui nous a accueilli dans son beau jardin – et le vendredi même dans son salon (!), un 2e remerciement tout particulier à Stéphane Libert avec qui nous avons enfin pu réaliser ce rêve fou de réunir La Voie du Poulpe 1 & 2 au sein d’une même soirée (et ce devant un public record !). Le 3e remerciement tout particulier à Melania Avanzato qui nous a offert de superbes photos de la soirée du vendredi, dont quelques unes ci-dessous.

Et enfin, le dernier remerciement tout particulier au magicien-guérisseur Mr. HRRRM rencontré sur internet à qui j’ai versé 375€ via paypal pour qu’il fasse en sorte qu’il ne pleuve pas pendant le Poulpe, et qui a tenu parole. 🙏

  • petite scène de théâtre dans un jardin, éclairée dans la nuit (c) Vanessa Durantet
  • Dans la maison-jardin
  • Jindra Kratochvil par Melania Avanzato
  • Maud Mesnier par Melania Avanzato
  • Zacharie Gaudrillot-Roy par Melania Avanzato
  • Martine Meirieu
  • Yannick Fleury
  • nature morte à l'abat-jour

Quelles histoires pour (sur)vivre dans l’anthropocène ?

Plus le réel bascule dans l’improbable, plus la place de la fiction, du spectacle, de l’art devient problématique. Justement — et si nous avions plus que jamais besoin de fictions radicales et d’artifices audacieux pour nous donner une chance de saisir ce qui nous arrive ? Une petite chance de percevoir les puissantes fictions dans lesquelles nous sommes déjà plongées et des dispositifs narratifs et sensoriels à l’intérieur desquels nous tentons tant bien que mal de tracer nos chemins ?

Ce fut une immense joie d’échanger ce mercredi avec Joris Mathieu et Nicolas Boudier, auteurs, artistes, metteurs en scènes, scénographes œuvrant depuis de nombreuses années au Théâtre Nouvelle Génération – CDN de Lyon, et dont la pièce La Germination arrive dans quelques jours sur la scène lyonnaise.

Grand merci à eux d’avoir accepté l’invitation de Cité Anthropocène / Radio Anthropocène. Et bien sûr à François De Gasperi, avec qui j’ai eu le grand plaisir de co-animer cette heure. Si la problématique des récits à l’heure de l’anthropocène vous préoccupe ou vous interpelle, offrez-vous ce podcast de nos échanges radiophoniques :

La Voie du Poulpe à l’Abat-Jour (Lyon) : 18 mai 2018

Nous avons le grand plaisir de vous proposer un nouveau rendez-vous avec le « Poulpe » : il aura lieu le vendredi 18 mai à la galerie L’Abat-Jour (33 rue René Leynaud, 69001, Lyon).

A l’approche de la période estivale, traditionnellement prometteuse d’une frivolité quelque peu suspecte et inconfortable, nous tenteront à nouveau de remettre un peu de consistance narrative au service du projet de l’authentique croissance culturelle commune. ​

Compte tenu du nombre limité de places (30), je vous remercie de me confirmer votre éventuel intérêt par email à l’adresse figurant sur l’affiche

Les chimères de Heinrich Hertz

Affiche performance "Les chimères de Heinrich Hertz"
Affiche de la performance « Les chimères de Heinrich Hertz » – Jindra Kratochvil et Stéphane Libert

Version méconnue de la découverte accidentelle des ondes électromagnétiques par Heinrich Hertz.

Performance narrative et sonore, environ 55 minutes.
Texte/voix : Jindra Kratochvil
Son/guitare : Stéphane Libert
Écrite et composée en automne 2017, produite​ ​le jeudi 12 octobre 2017 à la Galerie L’Abat-Jour​ ​(Lyon) devant une trentaine de spectateurs. Programmée dans le cadre de l’exposition Tropisme, en Résonance avec La Biennale de Lyon. ​

 

Présentation :

« Certains organismes récents ne résistent plus à la lumière d’origine naturelle et nécessitent un environnement spectral entièrement contrôlé pour se développer pleinement. Comment interpréter ce besoin inéluctable de fréquences spécifiques ? Depuis la découverte des ondes électromagnétiques par Heinrich Hertz à la fin du XIXe siècle, la traditionnelle évolution des espèces se voit redoublée d’une évolution des espaces : désormais, l’émergence des dimensions immatérielles alternatives fausse irrémédiablement la donne. Si elles semblent incarner une promesse dont le caractère roboratif et universel n’est plus à prouver, elles ne manquent pas d’éveiller la crainte archaïque de la confusion spectrale.»

Teaser de l’exposition Tropisme :

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