De retour du jardin de Saint-Fiacre

Merci, MERCI d’avoir été si nombreux.ses à nous rejoindre à notre « Micro-festival privé de la presque-pleine-lune au jardin de Saint-Fiacre » !
J’ai été tellement touché par l’attention que vous avez accordée à nos lectures, et tellement tout autant par la joie qui accompagnait les échanges et les rencontres…

Un premier remerciement tout particulier à Martine Meirieu qui nous a accueilli dans son beau jardin – et le vendredi même dans son salon (!), un 2e remerciement tout particulier à Stéphane Libert avec qui nous avons enfin pu réaliser ce rêve fou de réunir La Voie du Poulpe 1 & 2 au sein d’une même soirée (et ce devant un public record !). Le 3e remerciement tout particulier à Melania Avanzato qui nous a offert de superbes photos de la soirée du vendredi, dont quelques unes ci-dessous.

Et enfin, le dernier remerciement tout particulier au magicien-guérisseur Mr. HRRRM rencontré sur internet à qui j’ai versé 375€ via paypal pour qu’il fasse en sorte qu’il ne pleuve pas pendant le Poulpe, et qui a tenu parole. 🙏

  • petite scène de théâtre dans un jardin, éclairée dans la nuit (c) Vanessa Durantet
  • Dans la maison-jardin
  • Jindra Kratochvil par Melania Avanzato
  • Maud Mesnier par Melania Avanzato
  • Zacharie Gaudrillot-Roy par Melania Avanzato
  • Martine Meirieu
  • Yannick Fleury
  • nature morte à l'abat-jour

Faute de mieux

Une chronique régulière sur Radio anthropocène.

Une chronique d’auteur, résolument spéculative, qui s’appuie sur le réel pour aller voir ce qui se trouve de l’autre côté. S’y entassent peut-être de vieilles idées, des rêves inachevés en attente de traitement, des coquilles conceptuelles y parsèment des chemins qui, naturellement, mènent presque partout et nulle part en particulier.

Les rues lyonnaises sont tellement étroites

Les rues lyonnaises sont tellement étroites que les façades des immeubles en viennent parfois à se coller les unes aux autres. En résulte une promiscuité immobilière et spatiale déroutante, surtout le matin : tout le monde se balade à poil chez tout le monde, plus personne ne sait où est passée sa cuisine, il faut encore et encore refaire du café, il n’y a plus d’aspirine nulle part.