Faute de mieux

Une chronique régulière sur Radio anthropocène.

Une chronique d’auteur, résolument spéculative, qui s’appuie sur le réel pour aller voir ce qui se trouve de l’autre côté. S’y entassent peut-être de vieilles idées, des rêves inachevés en attente de traitement, des coquilles conceptuelles y parsèment des chemins qui, naturellement, mènent presque partout et nulle part en particulier.

La Voie du Poulpe

Affiche « La Voie du Poulpe » – décembre 2017

Performance narrative et sonore créée au printemps 2017
Durée approximative 55 min.
Texte/voix : Jindra Kratochvil
Musique/guitare : Stéphane Libert

Représentations :
12 juin 2017 au restaurant « Des Galets Bleus la Nuit » (Lyon)
21 décembre 2017 à la balançoire (Lyon)

« Nous sommes à Hong Kong, quelque part au milieu des années 1970. Le boom financier et immobilier est sur le point de transformer cette étrange cité-carrefour en une impressionnante mégalopole mondiale. Jean-Claude, ingénieur technico-commercial spécialisé dans les machines agricoles fabriquées en Bourgogne, accompagne une équipe expatriée dans la recherche de nouveaux marchés. Après plusieurs mois, alors que la mission piétine désespérément, une opportunité prometteuse et inattendue surgit enfin. La lumière se trouve-t-elle au cœur même des ténèbres ? C’est une question que Jean-Claude n’a pas encore eu l’occasion de se poser. »

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Les chimères de Heinrich Hertz

Affiche performance "Les chimères de Heinrich Hertz"
Affiche de la performance « Les chimères de Heinrich Hertz » – Jindra Kratochvil et Stéphane Libert

Version méconnue de la découverte accidentelle des ondes électromagnétiques par Heinrich Hertz.

Performance narrative et sonore, environ 55 minutes.
Texte/voix : Jindra Kratochvil
Son/guitare : Stéphane Libert
Écrite et composée en automne 2017, produite​ ​le jeudi 12 octobre 2017 à la Galerie L’Abat-Jour​ ​(Lyon) devant une trentaine de spectateurs. Programmée dans le cadre de l’exposition Tropisme, en Résonance avec La Biennale de Lyon. ​

 

Présentation :

« Certains organismes récents ne résistent plus à la lumière d’origine naturelle et nécessitent un environnement spectral entièrement contrôlé pour se développer pleinement. Comment interpréter ce besoin inéluctable de fréquences spécifiques ? Depuis la découverte des ondes électromagnétiques par Heinrich Hertz à la fin du XIXe siècle, la traditionnelle évolution des espèces se voit redoublée d’une évolution des espaces : désormais, l’émergence des dimensions immatérielles alternatives fausse irrémédiablement la donne. Si elles semblent incarner une promesse dont le caractère roboratif et universel n’est plus à prouver, elles ne manquent pas d’éveiller la crainte archaïque de la confusion spectrale.»

Teaser de l’exposition Tropisme :

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